"Ex-danseur de la Zouze, le Marseillais Arnaud Saury a toujours cultivé un goût pour l'absurde et le décalage. Habitué d'Actoral, il imagine une performance pour le danseur Faissal El Assia et le circassien Edouard Peurichard dans un espace clos et intime : la chambre."
La Provence
"La pièce plutôt attendue d’Arnaud Saury, qui travaille avec un danseur marocain et un circassien à la création fantasmée d’un club de lancer de couteaux dans la seconde ville de France. Le lancer de couteaux... Une image décidément évocatrice, si l’on pense à la situation actuelle de Montévidéo."
Eve Beauvallet, Libération
"C’est tremblotant et tellement drôle. Délicat et tellement généreux. Aventureux et complètement absurde. Ils sont sur le fil. De tout. De l’humour et de la poésie. De l’inconscience et d’une solide amitié. On flirte avec la vieillesse et la mort."
Serge Latapy/Céline Musseau, Sud Ouest
"Est-ce que leur projet loufoque de l’implantation d’un club de cette discipline à Marseille verra le jour ? Seule certitude, celle de l’indéfectible dérision, de la fantaisie, de l’humour et de la prise de risque incalculable qui régnera Dans ma chambre."
Marie Anezin, Ventilo n°433
"La pièce épatante et très drôle déplie l’équation. Les spectacles qui figurent l’inabouti sont parfois suspects d’avoir été conçus ainsi, non par choix, mais par limitation."
David Rofé-Sarfati, Toute La Culture.
"Tout le spectacle est à mi-distance entre réalité et exceptionnalité. Il raconte une relation entre amour et amitié,entre passion et dévouement. Comme s'il était un pont entre la magie - que porte en lui l'art du cirque - et le réel."
Bruno Fougniès, La revue du spectacle.fr